La baisse significative de la production de noix de cajou dans le district de Cuddalore après le cyclone Thane a dû constituer un défi majeur pour les producteurs de noix de cajou et pour les moyens de subsistance des habitants de Panruti et de Cuddalore Taluk. Explorons certains des impacts possibles et des mécanismes d'adaptation que les agriculteurs auraient pu adopter pendant cette période. Perte de récolte et difficultés économiques Le cyclone Thane aurait causé d'importants dégâts aux plantations de noix de cajou, entraînant une perte de récolte pour les agriculteurs. La culture de la noix de cajou étant une source majeure de revenus pour les agriculteurs, la baisse de la production aurait pu entraîner pour eux des difficultés économiques et financières. Et les dommages aux infrastructures Le cyclone aurait pu endommager les infrastructures et les installations essentielles à la culture de la noix de cajou, telles que les unités de transformation, les aires de séchage et les installations de stockage. La restauration et la reconstruction de ces installations auraient alourdi le fardeau financier des agriculteurs. Explorer des cultures alternatives : Face à un déclin aussi important de la production de noix de cajou, certains agriculteurs auraient pu envisager de se tourner vers des cultures ou des pratiques agricoles alternatives pour diversifier leurs sources de revenus et réduire leur dépendance à la culture de la noix de cajou.