Home
El entierro prematuro/L'inhumation prématurée: (Edición bilingüe/Édition bilingue)
Loading Inventory...
Barnes and Noble
El entierro prematuro/L'inhumation prématurée: (Edición bilingüe/Édition bilingue)
Current price: $15.00
Barnes and Noble
El entierro prematuro/L'inhumation prématurée: (Edición bilingüe/Édition bilingue)
Current price: $15.00
Loading Inventory...
Size: OS
*Product Information may vary - to confirm product availability, pricing, and additional information please contact Barnes and Noble
El miedo al enterramiento en vida era muy común en la época, y Edgar Allan Poe obtuvo provecho literario de ello.
En este relato, el narrador anónimo describe en primera persona un trastorno que le aqueja, caracterizado por ataques de una afección singular que los médicos coinciden en denominar catalepsia. Esta enfermedad lo lleva con frecuencia a pérdidas de conciencia muy similares a la muerte, lo que conduce al personaje a un terror pánico a ser enterrado vivo en alguna de tales circunstancias: La mayor de las desgracias posibles, afirma. A fin de que se comprenda esta fobia, el narrador enumera diversos casos probados de personas enterradas vivas. En el primer caso, la tragedia fue descubierta mucho más tarde, al ser reabierta la cripta.
Il est certains sujets portant en eux un intérêt poignant, mais qui causent trop d'horreur pour qu'on puisse légitimement les traiter dans une fiction. Les romanciers, s'ils ne veulent offenser ou dégoûter le lecteur, doivent éviter de les mettre en œuvre. On ne peut y toucher que sanctionné et soutenu par la majesté du vrai. Le passage de la Bérésina, le tremblement de terre de Lisbonne, la peste de Londres, le massacre de la Saint-Barthélemy, la mort des cent vingt-trois prisonniers étouffés dans le trou noir de Calcutta, nous font passer par la plus intense des souffrances voluptueuses. Mais c'est le fait, c'est la réalité historique qui nous émeuvent dans ces récits. Inventés de toutes pièces, nous les considérerions avec horreur.
Je viens de mentionner les plus augustes et les plus formi-dables calamités dont on se souvienne. Notre fantaisie y est impressionnée par la grandeur autant que par la nature de la catastrophe. Mais je n'ai pas besoin de rappeler au lecteur que, dans la liste longue et fatale des infortunes humaines, j'aurais pu choisir des exemples individuels plus saturés d'horreur, qu'aucun de ces vastes désastres. La véritable misère, la souffrance extrême échoient au petit nombre seul et non pas à la multitude. Remercions un Dieu de miséricorde d'avoir réservé les agonies dernières à l'homme-unité et d'en avoir préservé l'homme-foule.