L'animisme Africain est la plus ancienne religion au monde. Il a évolué au cours des 200 000 ans que l'Homo sapiens existait sur le continent Africain. La croyance du monde de l'esprit, dans l'au-delà, dans la co-existence de la mort avec la vie, sont constitutifs de la foi qui continuent à prévaloir dans toute l'Afrique. Il était emporté intact au cours de la première vague de la migration dans les coins les plus reculés de l'Asie et était présenté dans l'ensemble des Amériques, il y a 15 000 ans. Dans l'Orient, il est décrit par l'Ouest comme le culte des ancêtres. En Amérique du Nord c'est le chamanisme, après les chamans ou les prêtres des Natifs Américains. Tous les animistes, ou bien Africains, Juifs, Chrétiens, Japonais ou Américains autochtones, croient en l'au-delà et rendent hommage à leurs esprits ancestraux. Les croyances animistes auraient été adoptées par les Hébreux avant qu'ils quittent l'Égypte pour la terre promise. Moïse était un prince d'Égypte. Il aurait été exposé aux notions et croyances Africaines. Les similitudes entre l'animisme et la religion commencée par Moïse résultent de cette assimilation. Leurs ancêtres ont été appelés prophètes honorés. Dans l'Église chrétienne, qui a évolué à partir de l'animisme Judéen, ils sont connus comme des saints. Les reliques rappelaient à la vie de leurs ancêtres. Toutes les églises catholiques ont une pierre encastrée dans l'autel. Elle est titulaire d'une relique, habituellement d'un saint auquel l'église a été dédiée. La Rédemption, Livre Trois des Chroniques Cyrénéennes, met en jeu l'influence que la pensée Africaine avait sur l'élaboration des concepts chrétiens au premier siècle après Jésus-Christ. Simon, l'Africain qui porte la croix derrière Jésus sur le chemin du Calvaire, cherche à comprendre comment cet homme, même après sa mort, pouvait continuer à commander une suite. Avec son ami, Marc, ils sont en mesure d'utiliser les préceptes de la religion animiste Africaines pour donner la lumière sur la véracité de la résurrection, l'incarnation et le concept de la Trinité. En une décennie de l'exécution publique de Jésus, ses enseignements résonnaient autour de la Mer Méditerranée. Les Juifs, les Romains, les Grecs et les Africains embrassaient ses enseignements, même lorsque les autorités se tournaient contre eux, ridiculisant, persécutant et éventuellement les tuant. Dans les trente premières années après sa mort, sa parole s'était propagée et excitait les gens ordinaires, contre la volonté de leurs dirigeants. Simon, avec son épouse Ursula, leur fils Rufus, et leur ami, Marc, étaient devenus actifs dans la poussée des conversions qui se propageaient de Jérusalem, par Antioche, aux îles Grecques et puis en Afrique du Nord. Leur rôle est commémoré dans les Actes des Apôtres, et dans les lettres de saint Paul. Marc était un Cyrénéen et, dans cette série de romans, il est un ami proche de Simon. De tous les Evangélistes, Marc mentionne spécifiquement que Simon, le Cyrénéen, était le père d'Alexandre et de Rufus.